La création du cosmos et le concept physique de Thomas McKernon
L'asymétrie matière-antimatière et la genèse de l'univers
Dans son travail révolutionnaire de 2024, Thomas McKernon propose une analyse critique des limites du Modèle Standard de la physique, notamment dans sa tentative de concilier la mécanique quantique avec la relativité générale. McKernon introduit une perspective novatrice pour expliquer la domination de la matière sur l'antimatière dans l’univers, un phénomène demeuré énigmatique dans le cadre des théories conventionnelles.
Selon McKernon, cette asymétrie résulte de la rupture de symétrie charge-parité (CP) au sein des nucléons, un processus qui favorise la formation et la survie de la matière tout en réduisant celle de l'antimatière. Il attribue cette rupture à des interactions fondamentales entre deux types de vortex primordiaux :
- Les vortex centripètes (diélectriques) : Ces structures concentrent l’énergie et forment des réservoirs de faible entropie.
- Les vortex centrifuges (magnétiques) : Ces vortex, en opposition, dispersent l’énergie et agissent comme des générateurs de perturbations dynamiques dans le vide quantique.
Le vide diélectrique : réservoir d’énergie primordiale
McKernon redéfinit le concept du vide quantique traditionnel en introduisant l’idée de vide diélectrique. Ce dernier est conceptualisé comme un réservoir omniprésent de faible entropie mais de forte énergie potentielle. Contrairement à une simple absence de matière, ce vide représente un milieu dynamique où des fluctuations et perturbations primordiales ont pu émerger.
Ces perturbations, sous l’effet des interactions entre vortex diélectriques et magnétiques, auraient donné naissance aux particules fondamentales, notamment les protons. Ce processus pose le fondement de la matière observable dans l’univers. Le vide diélectrique joue un rôle central dans la genèse cosmologique, agissant comme le "terreau" énergétique à partir duquel la structure matérielle de l’univers a émergé.
Rupture de symétrie CP : un mécanisme d’auto-organisation cosmique
La domination de la matière sur l’antimatière est l’un des grands mystères de la cosmologie moderne. McKernon postule que cette domination résulte d’une dynamique d’auto-organisation au sein du vide diélectrique. La rupture de symétrie CP, selon lui, est causée par une interaction anisotrope entre les vortex centripètes et centrifuges. Cette interaction crée un déséquilibre subtil mais significatif dans les probabilités de formation de matière et d’antimatière, favorisant ainsi l’apparition d’un univers dominé par la matière.
Implications physiques et cosmologiques
- Formation des protons : Les protons sont les premières particules stables à émerger de ce processus, formant la base de la matière baryonique.
- Conservation de l'énergie et faible entropie : Le vide diélectrique, grâce à sa capacité à stocker une énergie potentielle élevée, permet une genèse ordonnée de la matière sans augmentation significative de l’entropie universelle.
- Conditions initiales de l’univers : Le modèle de McKernon suggère que l’univers est né dans un état de faible désordre mais de forte énergie disponible, ce qui est cohérent avec les observations actuelles sur la répartition homogène de la matière.
Vers une cosmologie unifiée
Le concept de McKernon ne se limite pas à expliquer l’asymétrie matière-antimatière. Il ouvre également la voie à une unification des principes de la mécanique quantique et de la relativité générale. En reliant les vortex diélectriques à des structures dynamiques de l’espace-temps, il propose une cosmologie où les lois de la gravité et de l’électromagnétisme trouvent leurs racines dans les propriétés fondamentales du vide.
Cette approche offre un cadre prometteur pour dépasser les limites actuelles des modèles cosmologiques et pourrait, à terme, fournir une explication plus complète des phénomènes comme l’énergie noire, la matière noire et l’inflation cosmique.
Conclusion : une vision novatrice de la création cosmique
Les travaux de Thomas McKernon sur l'asymétrie matière-antimatière et la genèse de l’univers redéfinissent notre compréhension des processus fondamentaux à l'origine du cosmos. En mettant en lumière le rôle central du vide diélectrique et des interactions vortex, il propose une perspective unifiée et élégante sur l’émergence de la matière. Bien que cette théorie soit encore jeune et nécessite des validations expérimentales, elle représente une avancée significative dans la quête d'une compréhension globale de l’univers.